Microbilles en plastique

Nous avons cessé d'utiliser les microbilles en plastique en 2014 pour répondre aux préoccupations concernant la formation des microplastiques dans les lacs et les océans. Nous les utilisions autrefois dans certains de nos produits exfoliants. Nous utilisons maintenant d'autres ingrédients exfoliants, pour que chaque personne puisse utiliser les produits nettoyants pour le visage et pour le corps d'Unilever en toute confiance tout en ayant la certitude de ne pas contribuer à l'accumulation de microplastiques dans les océans.

Les réponses à vos questions

Quelles sont les alternatives aux microbilles en plastique ?

Nous utilisons maintenant des ingrédients exfoliants alternatifs tels que les noyaux d'abricots, la farine de maïs, la pierre ponce, la silice et les coquilles de noix.

D'où proviennent les microplastiques que l'on trouve dans les océans ?

Les microplastiques proviennent de différentes sources, notamment de la dégradation des matériaux plastiques de plus grande taille dans l'eau, du pelliculage des fibres textiles synthétiques lors du lavage domestique des vêtements et des petites perles en plastique utilisés dans tout une gamme de produits industriels et de consommation. On pense que la contribution des produits de soins de la personne aux quantités de microplastiques dans les océans est très faible.

Pourquoi Unilever a-t-il utilisé des microbilles en plastique par le passé ?

Auparavant, on trouvait des microbilles en plastique dans un nombre limité de produits de soins de la personne, tels que des nettoyants pour le visage, des savons, des gels douche et produits nettoyants pour le corps. Nous les utilisions car ils permettent de désobstruer en douceur les pores et retirer les cellules mortes de la surface de la peau. De nombreuses personnes appréciaient la sensation revigorante apportées par les microbilles, généralement en polyéthylène.

Les microbilles en plastique sont-elles sans danger ?

Les analyses de sécurité ont conclu que le polyéthylène, le plastique utilisé autrefois dans nos microbilles, est sans danger pour l'homme et aucun effet n'a été observé aux concentrations que l'ont trouve généralement dans l'environnement.